Ce matin, je ne travaillais pas, j’ai deux jours de congé et j'ai commencé à faire des travaux ménagers. C'est le chaos ici en ce moment et avec les travaux la maison a tendance à devenir poussiéreux et horrible. Sans parler du chien qui entre et sort de la maison avec les pattes mouillées ou sales. Quoi qu'il en soit le matin, j'ai reçu des instructions par SMS de mon mari pour ouvrir tous les rideaux et stores à l'avant de la maison et me déshabiller, ce que j'ai immédiatement fait. J'adore être nue dans la maison. Le sms suivant qui est arrivé m'a demandée de m'assurer que mon dos et mon cul nus étaient visibles à travers la fenêtre du salon pendant les 10 minutes suivantes. J'ai donc attrapé une tasse de café transformée l'un de nos canapés en cuir monoplace dans l'autre sens devant la fenêtre du salon.

De cette façon, je pouvais m'agenouiller sur le coussin et m'appuyer sur le dossier de la chaise tout en buvant mon café et ma chatte et mon dos nus étaient exposés. Je n'avais aucune idée de ce qui se passait derrière moi dans la rue, heureusement notre rue est large et pas très fréquentée et la maison est en retrait à 10m du sentier, il faudrait que quelqu'un regarde sciemment pour voir beaucoup. Un léger frisson monta le long de ma colonne vertébrale sans savoir qui pervertissait ma nudité, cela me donna le sentiment d'excitation que la soumission vous donne lorsque vous n'avez plus le contrôle. Après que les 10 minutes se soient écoulées, je me suis levée et je me suis mis à faire le ménage. Je me sentais excitée et je suis restée nue et j'ai même laissé les couvres fenêtres grands ouverts. Environ 20 minutes plus tard, un autre sms est arrivé sur mon téléphone, c'était à nouveau de mon mari, des instructions.

J’ai donc sauté dans la douche, j'ai appliqué du gel à raser sur ma chatte en veillant à ce que la zone soit entièrement couverte. La fraîcheur du menthol dans le gel à raser m'excitait et mon jus commençait à couler, lentement et soigneusement. Je rasais la zone en veillant à ce qu'il n'y ait pas un seul poil visible. Après m'être séchée, j'ai mis mon maquillage en m'assurant d'avoir une odeur propre et sexy. Je suis allée dans la chambre et j'ai pris le sac de sport que je garde dans l'armoire contenant divers assortiments de poignets, cordes et s a n g les. J'ai choisi les 4 s a n g les réglables cargo qui ont un clip en D à une extrémité et une boucle fixe à l'autre. Elles sont réglables avec un ressort de libération près de la boucle d'extrémité.

Je peux les faire fonctionner d'une seule main à condition de pouvoir atteindre un point à tirer. Il faut un peu de travail pour libérer la s a n g le, la libérant d'un 1/8 de pouce à la fois. Si je peux atteindre ce point, je ne peux pas m'en sortir. En préparation, j'ai placé la boucle d'extrémité de chaque s a n g le sur chacun des coins des montants de lit surélevés, cela signifie que les ressorts se trouvent à moins de 12 pouces de chaque coin. J'ai défait chacun des déclencheurs à ressort et je dégage une longue longueur de s a n g le de rechange de chaque coin afin de me permettre de me mettre en position avant de les serrer. Lorsque les s a n g les sont tirées, le ressort de déverrouillage verrouille la s a n g le dans une position plus courte.

Je suis sortie dans l'arrière-cour et j'ai mis notre chien dans l'abri à son grand dégoût et je suis retournée à l'intérieur juste en fermant la porte arrière sans la verrouiller. J'ai attaché fermement mes chevilles et mes poignets à chacun de mes membres, l'odeur et la sensation du cuir m’excitaient. La sensation de ne les porter qu'à la maison tout en étant totalement nue me rendait très excitée. Quand j'étais contente que tout soit en place et que j'ai mis un tube de lubrifiant sur la table de chevet au cas où cela serait nécessaire et je suis montée sur le lit. À genoux au centre du lit, j'ai mis mon bâillon à boule solidement en place en le testant pour m'assurer que je ne pouvais pas parler, puis j'ai mis des bouchons d'oreille en mousse industrielle profondément dans mes oreilles pour que je ne puisse pas entendre.

J'ai ensuite glissé le bandeau sur ma tête mais pas encore en bonne position. Je tendis la main et attachais les lanières cargo lâches à mes chevilles; les s a n g les de chargement en haut du lit étaient vraiment lâches pour que je puisse les mettre sur mes poignets. Je m'allongeai sur le lit au centre avec mon bassin sur le dessus d'un oreiller doublé. Je baissai les bras le long de mes côtés et remontai les extrémités libres des s a n g les cargo fixées à mes chevilles.

Chaque fois que je tirais les extrémités, mes jambes s'étiraient vers les coins du lit chaque fois que mes chevilles étaient écartées jusqu'à ce que la libération du ressort se verrouille dans la nouvelle position, je les ai tirées plusieurs fois jusqu'à ce que mes jambes soient écartées autant que possible les exposant mes lèvres et mon cul rasés. Quand j’ai effleuré les extrémités de la s a n g le, il n'y avait aucun moyen de les atteindre, je ne pouvais pas atteindre le ressort pour desserrer la s a n g le. Ensuite, j'ai attaché les s a n g les en haut du lit aux clips en D sur mes poignets, avec ma main droite, j'ai tiré l'extrémité libre de la s a n g le de chargement attachée à mon poignet gauche de façon à ce qu'elle soit bien serrée et que mon bras gauche soit complètement tendu vers l'extérieur.

Ensuite, avec ma main droite, j'ai tiré le bandeau en peau d'agneau épais sur mes yeux, m'assurant de ne rien voir. Avec ma main droite peu à peu, j’ai tiré l'extrémité libre de la s a n g le de chargement restante, lentement mon bras droit a atteint la position complètement tendue chaque fois que le déclencheur à ressort se bloquait dans une nouvelle position.

Ensuite, avec ma main droite, j'ai tiré le bandeau en peau d'agneau épais sur mes yeux, m'assurant de ne rien voir.

Quand j'étais sûr que je ne pouvais pas resserrer la s a n g le, j'ai éloigné la queue lâche pour ne pas pouvoir l'atteindre, j'étais maintenant totalement impuissant, totalement exposée et totalement vulnérable.

L'ensemble de la procédure pratiquée a pris environ 5 minutes, me mettre en esclavage automatique était quelque chose que je faisais régulièrement, je pouvais soit le faire pour pouvoir libérer lentement une main ou le faire pour que je sois inévitable de devoir être libéré par quelqu'un d'autre. La différence psychologique entre les deux est énorme. Être capable de se libérer vous savez dans le fond de votre esprit que vous pouvez sortir lentement mais ne pas pouvoir vous libérer apporte un côté peur qui pompe l'adrénaline, augmente le facteur de vulnérabilité qui à son tour a un énorme effet profond de éveil.

La combinaison de la nudité, de la vulnérabilité et de l'impuissance m'amènera presque à l'orgasme sans aucune stimulation supplémentaire. Le selfbondage est l'un de mes passe-temps préférés.

Dans le cas de ce matin, j’étais allongée face contre terre au centre de mon lit, totalement nue le cul et la chatte légèrement relevés en l'air, privés de vue, d'audition et de parole. J'étais excitée comme l'enfer; mon jus coulait déjà alors que je restais impuissante et devais attendre l'arrivée de cet étranger.

Ce n'était probablement que de 25 à 30 minutes environ, mais à chaque minute qui passait, mon cœur battait de plus en plus vite en prévision de ce qui allait se passer. J'ai soudainement senti une brise d'air sur mon corps, je n'ai rien entendu, mais j'ai eu cette étrange sensation que quelqu'un soit présent près de moi. Il était probablement assis et me fixait. Je me tortillais contre mes liens, il n'y avait pas de jeu quoi que ce soit, je me demandais ce qu'il faisait. Soudain, une secousse électrisante a traversé mon corps alors que quelque chose de froid et de tranchant était traîné le long de mon corps.

Cela a commencé au niveau du cou et a suivi la ligne de ma colonne vertébrale jusqu'à ma fente dans le cul, sur le sphincter puis jusqu'à ma chatte. Mon corps tremblait de façon incontrôlable, en partie de peur et en partie d'extase. Je ne pouvais pas contrôler l'orgasme intense qui a suivi, ce qui a entraîné mon corps à tirer fermement contre les liens. Rien ne s'est produit pendant au moins 5 minutes de plus, je n'avais aucune idée du temps, tout à coup une langue a plongé dans mon cul et a léché mon petit trou.

Ensuite une paire de mains a couru sur toute la longueur de mon dos c'était tellement bon que je pouvais déjà sentir mon prochain orgasme. Du lubrifiant a été coulé sur mon trou du cul et je pouvais sentir l'excès se glisser jusqu'à l'entrée de ma chatte. Au moins quatre doigts ont ensuite été poussés dans mon entrée de chatte en commençant à glisser dedans et dehors, puis un pouce a plongé dans mon trou du cul. Ce devait être la main d'un homme car elle semblait plus grosse que celle d'une femme.

Il alterna entre son pouce et ses doigts glissant dans et hors de leurs trous respectifs. J'ai eu de nouveaux orgasmes, avec encore plus d'intensité. Étant une fille à orgasmes multiples, une fois que j'ai commencé à en avoir un, ils commencent à arriver vague après vague. J'ai également connu de m'évanouir occasionnellement pendant un orgasme. Il m'a baisé à la main pendant un bon moment en travaillant les deux trous simultanément, avec sa main libre il a serré mon cou ou a tiré ses ongles le long de mon dos. J'avais plusieurs orgasmes, chaque fois que mon corps se tendait contre les liens. Finalement, il a arrêté de retirer sa main, me donnant le temps de reprendre mon souffle. Je pouvais le sentir s'agenouiller entre mes cuisses; il a mis la tête de son sexe à l'entrée de ma chatte et m'a taquinée.

J'essayais de repousser mon corps pour qu'il pénètre, mais les taquineries me rendaient folle. Lentement, il l'enfonça, il semblait si épais et si long qu'il semblait durer éternellement. Il s'est arrêté quand il m'avait complètement pénétrée, je me suis retrouvée à essayer de pousser contre les liens, à essayer de pousser contre ce sexe. Il a ensuite commencé à me baiser lentement au début, je me tordais de plaisir, les orgasmes de la vague suivante ont commencé à se produire. Après un moment, il s'est retiré de ma chatte puis a poussé sa bite dans mon cul, j'ai crié dans le bâillon, alors que je commençais à me détendre, il a lentement baisé alternativement mon cul d'un coup puis dans ma chatte.

Finalement, il a recommencé à baiser ma chatte rapidement ou lentement, la rupture du rythme me rendait fole de plaisir. Il m'a baisée pendant plus d'une heure et demie, j'ai perdu le compte du nombre d'orgasmes qui ont déchiré mon corps. Il s'est arrêté et s'est agenouillé à côté de mon visage, enlevant mon bâillon boule qu'il m'a attrapée par les cheveux et a tiré ma tête vers le haut et a poussé sa bite dans ma bouche. J'ai commencé à sucer sa bite, il s’est penché sur mon corps et a poussé deux de ses longs doigts dans mon trou du cul et les a fait entrer et sortir. J'ai sucé et sucé sa bite, il a commencé à pousser légèrement dans ma bouche en tirant ma tête vers lui, soudain il a explosé en remplissant ma bouche avec son éjaculat. Il a continué à pousser et à venir, j'étais presque en train d'étouffer avec son sperme, essayant de l'avaler avant de me noyer. Il s'est retiré et m'a laissée là ruisselant de tous les trous.

Juste avant son départ, il a desserré deux s a n g les qui maintenaient mes poignets me permettant de me libérer ensuite.

Quand je suis enfin sortie de mes attaches, je suis allée aux toilettes et j'ai pris une longue douche. Une fois sortie de la douche, j'ai trouvé un mot qu'il a laissé en disant "j'ai hâte de vous croiser dans la rue que je fais tous les jours". J'ai pensé m e r d e , je n'ai aucune idée de qui il était. Je me le demanderai tous les jours quand je me promènerai dans notre ville.

C'était juste une autre baise d'esprit totale que mon mari joue parfois de temps en temps.

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